Communiqué de presse relatif au discours du Président de l'Assemblée Nationale

plus de 2 an(s)

Description

Alliance Ganbanaaxu - Nous, Alliance Ganbanaaxu regroupant les référents coutumiers et l’ensemble des ONG estampillées sur notre logo susmentionné, soutenons le discours historique et édifiant du Président de l’Assemblée Nationale Cheikh Ould BAYAA à l’occasion de la cérémonie de clôture des travaux de la première session parlementaire ordinaire 2021-2022.

Nous nous félicitons et notons le fait qu’il soit absolument en phase d’une part, avec les principes de notre sainte religion, l’Islam d’autre part, de le savoir être totalement en adéquation avec nos visées de valeurs républicaines.

En effet l’égalité dont il fait mention est bien un des fondements de l’Islam. Cette égalité est à juste titre au cœur du combat que nous menons depuis quelques années : l’égalité absolue de tous les êtres humains.

Les principes rappelés à cette occasion par le Président de l’Assemblée Nationale nous conforte pleinement dans notre combat pour la justice et l’égalité au sein de la communauté Soninké et fait naître l’espoir dans le cœur de l’ensemble de nos citoyens se comptant par centaines de milliers légués dans un statut infamant et dégradant donc inacceptable car ravalant au rang de citoyens de seconde zone.

Aussi, il va sans dire, et, nous le réaffirmons, que nous soutenons sans ambages le discours du président de l’Assemblée Nationale et tout autre discours qui a trait à la cohésion sociale quel que soit son auteur.

En effet Allah en Soit Loué, nous espérons fortement que désormais, nous ne serons plus exclus de l’Imamat, d’une quelconque nomination à un poste de responsabilité ou privés de terres agricoles sous prétexte que d’autres citoyens seraient bien nés pour en être les seuls ayants droit.
 

Articles associés

Souvi Ould cheine avait été torturé et assasiné dans un commissariat par 4 policiers. Ce meurtre avait suscité des mécontentements et manifestations en Mauritanie. Le 19 mars 2024, le tribunal de Nouakchott Nord a prononcé des condamnations dans le c
Le collectif de défense de feu et activiste des droits de l’homme, Soufi Ould Cheine a réclamé au tribunal pénal près de la Wilaya de Nouakchott Nord, de faire tout ce qui est nécessaire pour mettre au grand jour toute la lumière sur le présumé meurt
Le Parquet général près du tribunal pénal relevant de Nouakchott Nord a requis la peine de mort contre quatre des accusés dans le meurtre de l’activiste des droits de l’homme Soufi Ould Cheine, tué il y a un an dans l’un des commissariats de police d
Le Forum des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations (FORIM) et le Réseau des Associations Mauritaniennes en Europe (RAME) ont organisé le 15 février 2024 à Nouakchott une journée d'échanges multi-acteurs. Cette rencontre a r
Le rassemblement général de la Communauté mauritanienne au Canada (CMC) s’est réuni le 3 septembre 2023, au 6570 chemin de la Côte- des-Neiges, Montréal, Québec. Cette assemblée avait pour but de discuter des manquements dans la gouvernance de l’anci
La Commission des Droits de l’Homme et les différents acteurs concernés, lorsqu’ils évoquent l’arsenal juridique national pour endiguer l’esclavage et ses séquelles, lors de leurs sorties médiatiques à diverses occasions, devraient faire preuve d’app
Diffuser des textes criminalisant et punissant l’esclavage, la traite des êtres humains, le trafic illicite de migrants et le travail des enfants, Adapter minutieusement les faits pertinents, Prendre les mesures nécessaires pour poursuivre les auteur
Future Afrique - C’est un véritable recul dans le domaine des lois nationales et des conventions internationales sur les droits humains qui se dessine à travers les évènements en cours dans la Moughataa de R’Kiz au Trarza, où la paysannerie harratine
Le procureur général près la Cour suprême, M. Sidi Mohamed Ould Mohamed Lemine, a effectué mercredi une visite d’information au parquet de Nouadhibou et aux greffes qui en relèvent ainsi qu’à la prison civile de la ville. Dans une déclaration à cette
RFI Afrique - Trois ans de prison dont deux avec sursis et 150 000 euros d’amende ont été requis ce 1er février 2024 à Paris contre Pascaline Bongo, fille du défunt chef de l’État gabonais Omar Bongo et sœur de l’ex-président du même pays, Ali Bongo.

En direct

Suivez en direct l'actualité