Chinguittel justifie sa décision de licencier certains de ses employés et ceux-ci continuent de rejeter la mesure

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Saharamedias - La direction de la société de télécommunication CHINGUITTEL a justifié ce mardi sa décision de compresser certains employés par « des contraintes et des difficultés financières », accusant certains des employés compressés de vouloir « tromper l’opinion publique et vouloir discréditer la société ».

Un groupe d’employés de cette société qui ont été compressés avaient protesté contre la mesure les touchant qu’ils ont considéré arbitraire et illégale.

La société, dans un communiqué qu’elle a publié, a considéré que les employés compressés tentent de tromper l’opinion publique quant à la légalité de la mesure et ses justifications en tentant de l’extraire de son cadre naturel et normal dans le cadre d’un agenda non professionnel qui vise à discréditer la société.

Chinguittel a accusé certains de ses employés d’avoir divulgué des secrets professionnels que la loi les oblige à préserver même après la fin de leurs relations avec la société.

La société a justifié la mesure de compression par des contraintes économiques nées d’une restructuration qui l’a obligé malheureusement 26 employés dont 8 experts étrangers délégués par la maison-mère Sudatel.

Chinguittel réaffirme que lors de cette opération de compression toutes les mesures légales ont été observées ajoutant que « les droits financiers des personnes concernées ont été pleinement calculés et déterminés conformément aux lois et législations en vigueur dans le pays ».

La société a encore dit qu’elle avait appelé les employés compressés à prendre contact avec la direction du personnel afin d’achever les mesures de fin de contrats et disposer de leurs droits.

Cependant, certains parmi ceux-ci, se refusent à achever les mesures, alors que la société leur a réaffirmé sa disponibilité et sa volonté à profiter de leurs expériences dans un proche avenir dès qu’elle aura dépassé les difficultés actuelles à travers des consultations ou des contrats de prestation eu égard à leur situation particulière et leur passé au sein de la société.

Chinguittel considère que l’agissement des personnes compressées sont des agissements isolés, individuels et illégaux, destinés à pénaliser le travail à inciter à la désobéissance et à la rébellion contre le personnel administratif de l’entreprise, en l’attaquant et en apposant des autocollants sur leurs voitures.

» Des agissements inacceptables, précise la société auxquels « on fera face fermement et avec détermination conformément aux lois et règlements en vigueur ».

Chinguittel minimise les effets de cette action menée par un nombre limité de personnes compressées tandis que le reste du personnel continue de travailler dans des conditions normales.

La société ajoute qu’elle se réserve le droit e poursuivre en justice tout acte qui pourrait constituer un préjudice à son endroit ou une atteinte à ses infrastructures ou son personnel.

A l’opposé les délégués du personnel considère cette compression arbitraire régit par l’article 60 du code du travail mauritanien ».

Ils ont réaffirmé leur rejet de la décision de la société à laquelle ils s’opposent par toutes les voies légales, considérant que les justificatifs invoqués par CHINGUITTEL comme injustifiés et contraires à la réalité de la société.
Saharamedias - La direction de la société de télécommunication CHINGUITTEL a justifié ce mardi sa décision de compresser certains employés par « des contraintes et des difficultés financières », accusant certains des employés compressés de vouloir « tromper l’opinion publique et vouloir discréditer la société ».

Un groupe d’employés de cette société qui ont été compressés avaient protesté contre la mesure les touchant qu’ils ont considéré arbitraire et illégale.

La société, dans un communiqué qu’elle a publié, a considéré que les employés compressés tentent de tromper l’opinion publique quant à la légalité de la mesure et ses justifications en tentant de l’extraire de son cadre naturel et normal dans le cadre d’un agenda non professionnel qui vise à discréditer la société.

Chinguittel a accusé certains de ses employés d’avoir divulgué des secrets professionnels que la loi les oblige à préserver même après la fin de leurs relations avec la société.

La société a justifié la mesure de compression par des contraintes économiques nées d’une restructuration qui l’a obligé malheureusement 26 employés dont 8 experts étrangers délégués par la maison-mère Sudatel.

Chinguittel réaffirme que lors de cette opération de compression toutes les mesures légales ont été observées ajoutant que « les droits financiers des personnes concernées ont été pleinement calculés et déterminés conformément aux lois et législations en vigueur dans le pays ».

La société a encore dit qu’elle avait appelé les employés compressés à prendre contact avec la direction du personnel afin d’achever les mesures de fin de contrats et disposer de leurs droits.

Cependant, certains parmi ceux-ci, se refusent à achever les mesures, alors que la société leur a réaffirmé sa disponibilité et sa volonté à profiter de leurs expériences dans un proche avenir dès qu’elle aura dépassé les difficultés actuelles à travers des consultations ou des contrats de prestation eu égard à leur situation particulière et leur passé au sein de la société.

Chinguittel considère que l’agissement des personnes compressées sont des agissements isolés, individuels et illégaux, destinés à pénaliser le travail à inciter à la désobéissance et à la rébellion contre le personnel administratif de l’entreprise, en l’attaquant et en apposant des autocollants sur leurs voitures.

» Des agissements inacceptables, précise la société auxquels « on fera face fermement et avec détermination conformément aux lois et règlements en vigueur ».

Chinguittel minimise les effets de cette action menée par un nombre limité de personnes compressées tandis que le reste du personnel continue de travailler dans des conditions normales.

La société ajoute qu’elle se réserve le droit e poursuivre en justice tout acte qui pourrait constituer un préjudice à son endroit ou une atteinte à ses infrastructures ou son personnel.

A l’opposé les délégués du personnel considère cette compression arbitraire régit par l’article 60 du code du travail mauritanien ».

Ils ont réaffirmé leur rejet de la décision de la société à laquelle ils s’opposent par toutes les voies légales, considérant que les justificatifs invoqués par CHINGUITTEL comme injustifiés et contraires à la réalité de la société.
 

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